Tintine flashe sur les maisons des bois du château Boisniard Le château Boisniard dans l'écrin de son parc de dix hectares Louisanne et son ara Saphir, aussi câlin qu'un bébé Vagabonde à l’éternel sourire, décontractée mais toujours en pleine action, Louisanne Le Corfec-Mousset était visiteuse médicale lorsqu’elle a eu le coup de foudre avec son mari pour ce joli château vendéen situé tout près du Puy du Fou et de son célèbre festival. Le château était piqué dans un agréable parc de dix hectares séparé du village par deux grands étangs où nichent oies et cols verts. Les possibilités étaient immenses… ainsi que les frais pour remettre la propriété en état. Qu’importe, Louisanne avait vécu dans le milieu de l’hôtellerie et de la restauration. Elle allait retrousser ses manches et se mettre au boulot tandis que son mari Jean-Michel continuait à gérer son affaire de transport. Après la restauration du château et du manoir, l’aménagement d’une partie de
La sérénité du lac de Constance Le port de Lindau gardé par un lion et un phare Le port de Lindau et son beffroi Petite famille en promenade à Lindau Enchâssé entre les Alpes et le Jura, le lac de Constance, Bodensee en allemand, se compose de trois plans d’eau bien distincts : le lac supérieur de Bregenz à Constance, le bras nord-ouest de Mainau à Überlinger et le lac inférieur au sud-ouest de Constance. Trois pays se le partagent, l’Allemagne, la Suisse et l’Autriche. La majeure partie de son eau provient du Rhin, qui forme les superbes chutes de Schaffhouse, non loin de Constance, avant de poursuivre son cours majestueux vers la mer du Nord. Des stations d’épuration ont permis à ses eaux de recouvrer leur pureté originelle et de continuer à attirer adeptes des sports nautiques, baigneurs et plaisanciers. De vrais villages de cartes postales aux belles maisons médiévales à colombages ou ornées de fresques, souvent dominés par de puissantes forteresses, se blottiss
En rangeant avec ma sœur Sylla la jolie orangerie où vécurent nos parents, je suis tombée sur cet article de mon père consacré à deux de mes livres. Je ne connaissais pas ce texte, j’ignore quand il fut écrit et s’il fut un jour publié… Le voici : Isaure et l’aristocratie A Saint Pierre avec mon père Michel de Saint Pierre J’aime beaucoup ma fille Isaure – et je suis assez fier d’avoir donné le jour à ce bout de femme au nez provocant, à l’énergie masculine, aux yeux noirs, à la grâce toute féminine. Oh, bien sûr, elle m’a souvent irrité ! Parfois, elle s’adonne en effet à la provocation que son nez annonçait. Or je suis extrêmement chatouilleux, touchant certains sujets brûlants. Mais qu’on se rassure : il n’existe aucun sujet tabou, ni de part ni d’autre, entre ma fille et moi. Je n’ai pas goûté ni approuvé l’érotisme de ses premiers romans, pour cette raison que je trouve l’érotisme assommant. Cela dit, aucun livre d’Isau
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