Isaure de Saint Pierre contre Tintine Isaure a grandi au 25, rue du Faubourg Saint-Honoré, l’hôtel familial où ses parents partageaient un appartement avec ses grands-parents et, pendant un an, Romain Gary. Tintine abrutissait un peu Romain avec le bruit de ses patins à roulettes, alors métalliques et admirait passionnément sa grande robe de chambre cramoisie à dragons d’or. Défilèrent au faubourg quantité d’écrivains tels que Henri de Montherlant, Hervé Bazin, Henri Troyat, Antoine Blondin et des comédiens comme Pierre Fresnay, Yvonne Printemps ou Paul Maurice. Très jeune, Isaure collabora aux Nouvelles Littéraires, Quotidien de Paris, Monde et Vie, puis l’Echo de la Mode, Zoom, Vogue Hommes, Paris-Match, Avantages, Version Fémina, Spectacle du Monde et bien d’autres. Tintine fut envoyée en Israël par Monde et Vie, en Inde par Géo, pour y rencontrer le dalaï-lama et faire le seul reportage existant sur sa vie privée en exil, au Bengladesh par Voici pour interviewer le prof...
En rangeant avec ma sœur Sylla la jolie orangerie où vécurent nos parents, je suis tombée sur cet article de mon père consacré à deux de mes livres. Je ne connaissais pas ce texte, j’ignore quand il fut écrit et s’il fut un jour publié… Le voici : Isaure et l’aristocratie A Saint Pierre avec mon père Michel de Saint Pierre J’aime beaucoup ma fille Isaure – et je suis assez fier d’avoir donné le jour à ce bout de femme au nez provocant, à l’énergie masculine, aux yeux noirs, à la grâce toute féminine. Oh, bien sûr, elle m’a souvent irrité ! Parfois, elle s’adonne en effet à la provocation que son nez annonçait. Or je suis extrêmement chatouilleux, touchant certains sujets brûlants. Mais qu’on se rassure : il n’existe aucun sujet tabou, ni de part ni d’autre, entre ma fille et moi. ...
Bayeux et ses alentours Abbaye Saint Martin de Mondaye Hôtellerie de la Joie Saint Benoit Ce périple dans le Calvados des VMF (Vieilles Maisons Françaises) de Seine Maritime rayonne autour de Bayeux, ville arrosée par l’Aure et située à seulement dix kilomètres de la Manche, donc toute proche des plages du débarquement. Epargnée par les bombardements, la ville regorge de maisons médiévale et de vieux hôtels, de ruelles discrètes et de musées, dont celui de la dentelle et celui abritant la célèbre tapisserie dite de la reine Mathilde, l’épouse flamande de Guillaume le Conquérant, en réalité une broderie réalisée par des ateliers anglais. On y flâne volontiers à pied, gardant comme point de repère les hautes flèches de sa cathédrale. Nous logeons da...
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