L’hôtel Dolat Abad à Yazd, en Iran
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On est accueilli par ce chatoyant couple de perroquets |
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On suit les ravissants chemins d'eau |
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Le pavillons menant à la grande salle à manger |
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Le pavillons semi-octogonal dominé par une tour à vent |
Yazd, la cité du désert iranien couleur de miel ambré abritant la plus importante communauté zorastrienne du pays, les adorateurs du feu disciples de Zoroastre, comporte une vieille ville d’un charme infini. Il faut s’y perdre à pied, emprunter un lacis de petites ruelles semées de citernes, mosquées, tours à vent que l’on retrouve aussi à Dubaï, ingénieux système servant à rafraîchir les maisons, mosquées dont la principale, la mosquée Jameh, date du XIV è siècle même si elle fut maintes fois restaurée, vieilles maisons et bazar regorgeant d’étoffes chamarrées et de tapis de sol, l’orgueil de la ville. On peut encore voir la célèbre « prison d’Alexandre », en réalité une école coranique, la médersa Ziya’iyeh ou le mausolées des douze Imams. Il faut bien sûr visiter à l’orée de la ville, en plein désert, les émouvantes Tours du Silence où les adeptes de Zorastre abandonnaient leurs morts aux charognards, pratique aujourd’hui interdite.
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La nuit, une féerie de lumières |
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La salle à manger |
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L'élégance des vitraux et des voûtes nervurées |
Et, pour se reposer de tant de merveilles, on s’abandonne aux murmures de l’eau de la maison Dowlat Abad, l’ancienne résidence du gouverneur de la ville datant du XVIII è siècle, aujourd’hui admirablement restaurée et aménagée en hôtel. Partout jaillit l’eau et, à la tombée de la nuit, les odeurs du jardin et surtout celle de chèvres feuilles échevelés enivrent. Les chambres, simples mais confortables, s’organisent autour de petits patios également fleuris. C’est un séjour féerique.
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La grande salle à manger |
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Des chambres simples et confortables
organisées autour de patios |
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