MEHAREE DE CHARME
S’immerger au
sein du grand désert mauritanien
Dans ce pays vaste comme
deux fois la France, plus des deux tiers du territoire appartiennent au Sahara.
Mais il serait faux de croire qu’il n’existe qu’un seul désert. Au contraire,
le désert est multiple, sans cesse nouveau et différent, mais toujours aussi
bouleversant. « J’ai découvert au Sahara le reflet de mon paysage
intérieur », disait André Chouraqui. Le désert est en effet une école,
école de réflexion, de retour en soi-même, d’épuration.
Dans le désert, on oublie tout ce qui n’est pas très
important pour aller à l’essentiel : l’amitié et l’entraide sans
lesquelles la survie ne serait pas possible, les gestes de la vie et de
l’accueil.
Le bel
apprentissage du désert
Sitôt arrivé dans un lieu de bivouac, les premiers
soins vont au chameau, indispensable compagnon de solitude qu’il faut débâter,
abreuver, nourrir puis entraver pour le laisser mâchouiller interminablement
sans trop s’éloigner du campement les meurtrières épines d’acacia qui sont pour
lui un régal et la fameuse « herbe à chameau », sorte de jonc dont
les Maures font les liens et les nattes. Ensuite on dresse la grande tente
blanche des nomades, doublée à l’intérieur de jolis patchworks rendant le ciel
multicolore. C’est le moment de la cérémonie du thé, symbole d’accueil et de
bienvenue. L’eau est mise à bouillir dans une petite théière de fonte que l’on
pose directement sur les braises, puis on le verse de haut, d’un geste net et
précis, d’un verre à l’autre pour le faire bien mousser, opération indéfiniment
répétée. Alors on sert le premier verre de thé, peu sucré et « amer comme
la vie », le second, « fort comme l’amour » et le troisième,
très sucré, « suave comme la mort ». Dès que survient un visiteur,
toujours bienvenu en Mauritanie, commencent les interminables palabres :
« salamaleikum » (que la paix soit avec toi), « yak khyr »
(est-ce que tu as le bonheur ?), « yak saha » (la santé ?),
« yak la bes » (est-ce que tout va bien ? ». A quoi l’on
répond invariablement : « la bes el hamtoulilah » (ça va et
je te remercie mon Dieu).
Nomades près d'Atâr, cérémonie du thé |
Nomade près d'Atâr |
Sauf au sein del Hammâmi, l’immense désert du Nord
dévasté par cinq années consécutives de sécheresse, le désert reste pourtant un
lieu de vie. Sitôt que l’incroyable tam-tam du désert a annoncé à la ronde
l’arrivée de « toubabs », de partout et de nulle part surgissent une
nuée de gamins, bientôt suivis par les femmes qui déballent aussitôt le contenu
de leurs balluchons : petits bijoux, chèches et boubous, théières et
grigris. Puis viennent les malades dont on ne comprend hélas pas toujours
l’origine des maux, les bébés à la peau d’ambre et aux sourires d’anges
accrochés au sein de leur mère qui ont eux aussi toujours un bobo à soigner.
Souvent, un vieux bidon qui traînait par là est reconverti en tambourin, des
chants s’élèvent, une danse s’improvise, des rires fusent. On se rend la
politesse d’une tente à l’autre avec cette gaîté communicative des gens du
déserts. Les conteurs s’annoncent par les habituels préambules en langue
hassaniya, celle des Maures, « galak magalak » (il t’a dit et
il ne t’a rien dit) que l’assistance reprend en chœur, « lipon
libon » (la même chose en langue wolof). Puis le conte, souvent une
parabole où les animaux sont bien plus sages que les humains, s’achève par une
sentence morale et par ces mots « Alors, j’ai repris mes chaussures et je
suis parti dans le grand désert mauritanien ». A quoi l’on répond :
« Et le premier qui respire ira au paradis ».
En Mauritanie, le Pays des Maures, république
islamique unifiée et pourvue d’une constitution depuis 1991, la plupart des
expéditions dans le désert se font à partir d’Atâr, desservie par une ligne
régulière depuis Paris. Si vous souhaitez vous immerger complètement dans le
désert, y vivre la vie des nomades bien loin de la civilisation, la meilleure
solution est bien sûr la méharée sans accompagnement de 4x4. Les dromadaires
transportent bagages et vivres, certains sont sellés et peuvent être montés.
Vraie œuvre d’art d’ailleurs que cette haute selle maure dépourvue d’étrier, faite
de cuir peint. Une fois juchée là-haut, bercée par le doux dandinement de votre
bête, vous aurez l’impression d’être une reine du désert et de dominer le monde
- ou presque.
Le Hammâmi de
Choum à Zouérate, un univers minéral et lunaire
Baba abreuve ses dromadaires au rudimentaire puits de Tourine |
Femme que l'on pare de henné à Zouérat |
Emprunter la route du Nord que ne fréquentent plus
les caravanes ou les nomades à cause de l’actuelle sécheresse est peut-être
l’expérience la plus dépaysante que vous offre le désert. Il faut dépasser les
oasis entourant Atâr où se rassemblent les grandes tentes blanches des nomades
ou les tikkits, petite huttes de
palme tressée rondes ou rectangulaires. Là, on vous offrira une grande jatte de
zrig, du lait caillé de chamelle.
Après Choum, bourgade assez désolée et poussiéreuse ne règne plus que le
désert. Il peut prendre de multiples formes : l’erg semé de cailloux et de belles dunes rousses, le reg plat et ascétique, aux pierres
coupantes, qui peut prendre des teintes d’un noir à faire rêver l’enfer, les riples, ces prémices des dunes évoquant
de multiples petites vagues, puis les somptueux cordons dunaires aux formes
molles et douces évoquant un corps féminin et appelant toutes les caresses.
Le seul puits d’el Hammâmi, celui de Tourine, se
situe à deux jours de route de Choum, dans une magnifique région dunaire. Dès
que l’eau est là verdissent tout à coup acacias et herbes à chameau. Quant aux
dromadaires, tout excités par l’approche de l’eau, ils engloutissent goulûment
à tour de rôle leur cent vingt litres puisés dans les outres en peau de chèvre,
souvent remplacées aujourd’hui par des chambres à air. Le cinquième jour de
treck, dès que le soleil a disparu à l’horizon, on fête l’el fater, la fin du jeûne du Ramadan, avec un couscous
particulièrement somptueux mitonné par Hamada, notre cuisinier. Avec el adha, la cérémonie du mouton
commémorant le sacrifice d’Abraham et el
mouloud, l’anniversaire du Prophète, ce sont les trois fêtes saintes de
l’Islam. Et nous voici repartis au pas rapide de nos dromadaires en direction
de Zouérat, sombres montagnes noires à la découpe irrégulière se profilant sur
le bleu du ciel et semblant reculer indéfiniment en dépit de notre avance. Sur
le grand plateau monotone d’el Azrag, un ancien lac asséché depuis des
millénaires, on suit les traces d’une maman éléphant et de son petit se traînant
vers le dernier point d’eau d’el Hammâmi. Ici et là, plusieurs roches gravées
de dessins rupestres attestent eux aussi de la richesse de la faune, quand
l’eau coulait encore dans le désert. Gazelles, autruches, rhonocéros,
hippopotames, bufles et girafles gravés témoignent d’un Eden oublié.
La rutilante oasis de Ouadane |
A Ouadane, Sidi en train de restaurer l'un des célèbres "manuscrits du désert" dévoré par les termites |
Zouérat, un
gisement de fer exceptionnel repéré par le père du Petit prince
Zouérat, cette ville de 30 000 habitants surgie du
désert grâce au minerai de fer que l’on exploite dans trois gisements
principaux, Zouérat, Tazadite et Maoudate, doit en fait son existence à Antoine
de Saint-Exupéry, le père du délicieux Petit
prince. Un jour que l’aviateur survolait la région pour se rendre à
Saint-Louis du Sénégal, il eut tous ses instruments de bord déréglés par la
forte teneur en minerai de la montagne. On envoya des géologues en mission et
l’état français commença la prospection et l’exploitation minière que la
Mauritanie reprit plus tard à son compte. Dans cet univers noir tranchent
encore mieux les voiles multicolores des femmes semblables à des ailes de
papillons, que l’on peut acheter dans les petites échoppes de la ville. Des
jeunes filles étendues sur des nattes se font parer de henné. Les boubous bleus
ou blancs des hommes ornés de broderies d’or leur donnent une allure
majestueuse encore accentuée par le port du cheich.
La montagne culmine tout de même à 930 mètres , le point le
plus haut de la Mauritanie. Au-dessus de la ville, à l’air libre, l’un des plus
anciens gisements se creuse en gradins à 800 mètres de profondeur,
évoquant un gigantesque cirque antique. Partout, des Caterpillars hauts comme
des maisons font penser à des insectes géants, bourdonnants et affairés.
Chaque jour, le minerai extrait des mines de Zouérat
et des environs est acheminé vers le « train minéralier » le plus
long du monde, qui s’étire sur 2
km et se rend en 6 heures à Choum, puis à Nouadhibou, le
grand port côtier de la Mauritanie. De là, le fer est transporté vers les
différents ports européens et surtout Dunkerque. Un wagon prévu pour les cadres
de la mine peut être réservé pour les passagers, un voyage inoubliable si vous
ne craignez ni les secousses diverses et multiples ni la saleté ni la vétusté
des lieux. Pour celles que ces inconvénients n’effraient pas, une étape jusqu’à
Touâjil reste une expérience peu commune. Aller plus loin ressemblerait un peu
à du masochisme, mais l’ambiance est garantie : voyageurs plus ou moins
clandestins s’installant sur le chargement de fer, parfois accompagnés de leurs
moutons, ahanements et soubresauts de la machine, manœuvres compliquées
exécutées dans un concerts de cris et d’ordres contradictoires…
Les villes
sacrées de l’Adrar
Désert plus souriant qu’el Hammâmi, l’Adrar qui
s’étend à l’est d’Atâr a moins souffert de la sécheresse que le Nord. Là, les
oasis ponctuent le paysage comme autant d’explosions de vie toujours aussi
surprenantes et miraculeuses au sortir du désert. Là, les nomades sont légions
car ils trouvent encore à nourrir leurs troupeaux de chèvres et de moutons et
leurs dromadaires que n’ont pas encore remplacés les 4x4. De nombreuses
méharées ou tours en 4x4 sont proposés depuis Atâr, à vous de choisir la
formule qui vous convient le mieux. De toute façon, les villes saintes de
Chinguetti et de Ouadâne restent des étapes incontournables. Ces deux villes
furent célèbres dès le XIIè siècle et vous pourrez encore voir mosquées et
maisons de notables datant de cette époque. Surtout, de nombreuses
bibliothèques privées passionnantes à visiter renferment les prodigieux
manuscrits du désert encore presque inconnus et souvent en piteux état, qui
contiennent pourtant tout le savoir du Sahara depuis mille ans et plus.
Que vous empruntiez la passe d’Amogjar ou la piste
menant au cirque d’El Beyyed, vous traverserez un paysage lunaire fait de roches
aux découpes capricieuses, semblant posées là en équilibre instable,
surplombant défilés ou cirques dont l’échelle n’est pas humaine. Celui d’El
Beyyed, immense magma rocheux d’une circonférence de 40 kms fut rendu célèbre
par Théodore Monod, l’infatigable « marcheur du désert », qui y
voyait la trace de l’impact d’une météorite - l’explication retenue
actuellement pencherait plutôt en faveur d’un bouleversement d’origine
volcanique. Quoi qu’il en soit, le spectacle reste vertigineux. Dans la même
région, un autre cratère assez semblable, celui de Guelb er Richât, semble
infirmer la thèse de l’irruption. Après tous ces écroulements minéraux,
l’arrivée à Ouadâne n’en est que plus spectaculaire. C’est un vrai petit
paradis en miniature surgi parmi verdure et palmiers dattiers. De l’oasis, vous
apercevrez les remparts de la vieille ville et un amas de pierres plus ou moins
ordonné et peu restauré. Même si l’Unesco a déclaré Ouadâne et Chinguetti
« patrimoine mondial de l’Humanité », aucun subside n’est encore arrivé
pour restaurer la vieille ville et surtout ses précieux manuscrits. Sidi,
ancien instituteur de Zouérat et vivante mémoire du désert, possède pour sa
part parmi un vraisemblable bric-à-brac qu’il vous fera volontiers visiter
quelques livres rares souvent rongés par les termites. Il sait comme personne
évoquer les antiques caravanes transportant le sel de Tombouctou, les minerais
précieux ou la gomme arabique du Sénagal, passant par les villes saintes de
Ouadâne et Chinguetti avant de se rendre à la Mecque. C’étaient les pèlerins
qui rapportaient les manuscrits de leur périple, chacun s’efforçant d’avoir une
bibliothèque mieux fournie que son voisin. Traités de mathématiques ou
d’astrologie, de grammaire ou de poésie, innombrables commentaires du Coran,
belles caligraphies tracées à l’encre de couleur, tout se côtoie en un aimable
désordre…
Plus vaste et moins intime que Ouadâne, Chinguetti
offre aux regards une belle palmeraie, des mosquées de pierres non jointées et
quelques maisons anciennes pas trop croulantes. Là aussi, les restaurations
seraient urgentes.
Les trois
forts Sagane et les piscines du désert
A l’intérieur de la ville, un ancien fort français
baptisé « hôtel de fort Sagane » abritait durant le tournage du film
d’Alain Corneau les appartements de Gérard Depardieu, Sophie Marceau, Philippe
Noiret et Catherine Deneuve. En dépit des efforts de modernisation tentés pour
leur venue, ces derniers devaient se sentir un peu loin de chez eux… Quant au
vrai fort Sagane du tournage, il fut construit pour les besoins du film dans un
autre cirque noir et désolé, spectaculaire en tout cas, l’authentique fort
Sagane se trouvant quant à lui dans le sud algérien.
Plus spectaculaire encore qu’une oasis est ce qu’on
nomme une « guelta ». Imaginez en plein désert une sorte de
dépression formant une vraie piscine emplie d’eau où vous pourrez vous baigner,
luxe suprême. Celle d’el Berbhera surprend d’autant plus que rien ne la laisse
prévoir. Même à quelques mètres de l’étroite faille en croissant dans laquelle
elle se niche, vous ne pouvez la deviner. On y descend par un chemin de chèvre
et là, c’est la merveille d’une végétation enfin triomphante. Une mince cascade
à l’eau très pure sourd de la roche et remplit une succession de vasques.
Partout bruissent les palmes tandis que roucoulent les palombes dans ce qui
semblait, l’instant d’avant, un univers hostile et sombre. Dans la guelta de
l’oasis de Tergit, plus vaste mais moins inattendue, vous pourrez même barboter
à votre aise. Les tentes du campement, plantées au bord de l’eau murmurante,
offrent un délicieux abri de fraîcheur et et de paix, comme seul peut en
réserver le désert, ce « lieu sans âme où le ciel est seul roi »,
disait Albert Camus.
Pratique
Comment y
aller
Des vols Paris-Atâr ou Marseille-Atâr ont lieu
chaque semaine par Air Méditerranée. S’adresser à Point Afrique, 2, rue de la
Roquette 75011 Paris, tél. : 08 20 83 02 55. Air France (119, av. des
Champs-Elysées, 75008 Paris, tél. : 08 20 82 08 20) et Air Afrique (26, av
de l’Opéra 75002 Paris, tél. : 01 44 21 32 32) assurent également la
liaison Paris-Nouakchott. Aucune vaccination n’est officiellement demandée,
mais un vaccin anti fièvre jaune est recommandé, le visa se prend directement à
l’arrivée.
Où dormir
A Atâr :
- Au camping-auberge Bab Sahara, sur la route
d’Azougui, tél. 76 46 03, couchage en tentes ou paillotes, 2000 OM la nuit,
soit 8 E.
- A l’hôtel Dar Salam, sur la route de Chinguetti,
tél. : 76 43 68, 3500 OM la chambre en dur où l’on peut dormir à trois ou
5000 OM dans un tikit (hutte en palmes).
- A l’auberge Monod, sur la route principale,
tél. : 76 45 95, 10 000 OM la chambre double avec bains privés et TV.
- A l’auberge Oued Ilij, dans une jolie oasis à
Azougui, tél. : 46 43 43, maisons en dur et tentes, organisation de trek
et méharée, à partir de 30 E la journée.
A Zouérate
- A l’hôtel Oasian, dans la rue principale,
tél. : 74 06 05, chambre double et petit déjeuner à partir de 25 000 OM dans un
cadre sans grand charme.
- Tiris Hôtel, en plein centre ville, avec piscine
et joli patio, tél. : 44 01 57, partir de 18 500 OM, excellent rapport qualité-prix.
A Ouadâne
- A l’auberge Agweidir,
caravansérail situé face à la vieille ville, 2400 OM.
- A l’auberge Vereny, en face de la gendarmerie, on
peut dormir dans des chambres en dur ou sous la tente, 2400 OM.
A Chinguetti
- A l’hôtel de fort Sagane, jolies chambres à
l’écart du fort situées autour d’un patio avec douches et toilettes, 3000 OM.
- A l’auberge Echeylal, chambres à la mauritanienne
autour d’un jardin, 3500 OM.
Restaurants
La cuisine mauritanienne est très simple, couscous,
méjoui, volaille parfois, seule spécialité, les crêpes fourrées aux petits
légumes. On prend en général ses repas dans le campement ou l’auberge indiqués.
A Atar
- Restaurant Oudâne, dans le centre, où le couscous
est copieux et savoureux, environ 1000 OM par personne.
Séjours et
circuits
- La Balaguère, route du Val
d’azun, BP3, F65403 Arrens-Marsous cedex, tél. : 05 62 97 20 21, est le
grand spécialiste mauritanien des méharées. Les circuits sont souvent organisés autour d’un
thème, les « conteurs mauritaniens », « séjours
aquarelle », « yoga et shiatsu dans le désert ». Les
possibilités sont multiples et toujours originales.
- Comptoir des Déserts, 344, rue Saint-Jacques,
75005 Paris, tél. : 01 53 10 21 60, grand spécialiste des déserts vous
mitonnera si vous le souhaitez des circuits à la carte.
- Point Afrique, 2, rue de la roquette, cour de
Mars, 75011 Paris, tél. : 08 20 83 02 55, organisé en coopératives de
voyageurs, propose surtout des circuits en 4x4, qui permettent évidemment de
voir plus de choses mais on y perd en dépaysement.
Que rapporter
Surtout concentré à Atar et Zouérate, l’artisanat mauritanien n’est pas
très riche, boubous, jolies étoffes tissées au Pakistan mais teintes sur place, petits objets de vanneries, sculptures sur bois, coussins de cuir décorés par les nomades, bijoux de perles
fantaisistes constituent les principales richesses.
Pour en savoir
plus
- Dévorez Méharées,
L’Emeraude des Garamantes ou Maxence au désert (Actes Sud) de
Théodore Monod, un connaisseur en matière de désert.
- Relisez Vol
de nuit ou Terre des hommes(Gallimard)
d’Antoine de Saint-Exupéry, le célèbre aviateur.
- Revivez les exploits d’Odette de Puigaudeau qui
sillonna le désert mauritanien en 1930, Pieds nus à travers la Mauritanie (Phébus).
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